Par-delà les sentiers parcourus,
Dans un palais ou au coin d’une rue,
Le vent souffle sur les plaines nues
Et balaie tout ce qui a vécu.
Même les planètes ne peuvent y échapper
L’univers est lui aussi manipulé
Par le changement qui transforme toutes les données
En une énergie inconditionnée
Beauté de l’existence
A travers son impermanence
Offrez toutes vos semences
Au berceau de la conscience.
La mort n’existe pas,
Seul le mouvement pas à pas
Au-delà de l’au-delà
En réalité, je n’existe pas.
Le rire, la joie tout autour de ça
Une étincelle qui illuminera
La totalité de l’immensité
Qui elle aussi disparaîtra.